S. François d'Asis


Testament de Saint François

Sainte Le Testament de saint François est l'un des écrits les plus importants laissés à ses frères par le saint d'Assise.

Ce testament spirituel écrit par saint François a été écrit par le Saint probablement en Septembre 1226.

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Testament

Le Seigneur m'a donné, frère François, de commencer à faire pénitence: parce que, comme je l'étais dans le péché, il semblait trop amer pour voir les lépreux; Et le Seigneur lui-même me conduisit parmi eux et je leur fait miséricorde.
Et quand je les ai quittés, ce qui me semblait amer a été transformé en douceur de l'âme et du corps. Et après , je retardé un peu et quitté le monde.
Et le Seigneur m'a donné une telle foi dans les églises que je voudrais simplement prier et dire: « Nous vous adorons, Seigneur Jésus-Christ, et nous vous bénisse tous vos églises à travers le monde entier, parce que par ta sainte croix tu as racheté le monde".

Alors le Seigneur m'a donné et me donne une telle foi dans les prêtres qui vivent selon la forme de la sainte Eglise romaine, à cause de leur ordre, que même si elles me persécuter, j'aurais recours. Et si j'avais autant de sagesse que Salomon avait, et m'a rencontré dans les prêtres pauvres de ce monde, dans les paroisses où ils vivent, je ne prêcher contre leur gré.

Et ceux-ci et tous les autres veulent à la peur, l'amour et l'honneur que mes seigneurs. Et je ne veux pas considérer en eux le péché, parce que je reconnais les Fils de Dieu et ils sont mes seigneurs. Et je fais cela à cause du Très - Haut Fils de Dieu, je ne vois rien corporellement dans ce monde, sinon le Saint Corps et Sang Très Saint qu'ils reçoivent et eux seuls administrent aux autres.

Et je veux que ces mystères les plus saints au- dessus toutes les autres choses sont honorés et vénérés dans des endroits précieux.
Et partout où je trouverai des manuscrits avec les noms les plus saints et ses mots dans des lieux inconvenantes, je veux les ramasser, et demander qu'ils soient recueillis et placés dans un endroit approprié.
Et nous devons honorer et vénérer nous tous les théologiens et ceux qui administraient ces mots divins les plus saints que ceux qui le ministre à l'esprit et la vie. Après que le Seigneur m'a donné des frères, personne ne me montrait ce que je devais faire, mais le Très-Haut lui-même me révéla que je devais vivre selon la forme du saint Evangile. Et j'avais écrit ce avec peu de mots et simplement, et le seigneur Pape pour moi.
Et ceux qui sont venus recevoir la vie a donné aux pauvres ce qu'ils auraient pu et ils se contentaient d'une seule tunique, patché à l'intérieur et à l'extérieur, avec un cordon et un pantalon court. Ils ne sont plus.

Nous clercs dit l'Office que d' autres clercs; profanes dit le Pater; et nous sommes restés très volontiers dans les églises. Et nous étions simples et soumis à tous. Et je travaillais avec mes mains, et je veux travailler; et je désire ardemment tous les frères de travailler comme eux - mêmes un travail honnête pour. Ceux qui ne peuvent pas apprendre, pas de désir de recevoir la récompense du travail, mais de donner l'exemple et d'éviter l'oisiveté. Et quand il n'y avait pas payé pour notre travail, nous recourons à la table du Seigneur, demandant l'aumône de porte à porte.

Le Seigneur m'a révélé que nous devrions dire cette salutation: "Que le Seigneur vous donne la paix". Les frères de ne pas accepter les églises absolument ou masures ou toute autre chose est construit pour eux, si elles ne sont pas comme il sied à la sainte pauvreté que nous avons promis dans la règle, être toujours invités comme des étrangers et des pèlerins.

Je commande fermement par l'obéissance à tous les frères, où qu'ils soient, ils n'osent pas demander une lettre (privilège) à la Curie romaine, personnellement ni eux, ni par un tiers, ni pour une église ou autre lieu, ni en raison de la prédication, ni pour la persécution de leur corps; mais où ils n'ont pas été reçus, laissez - les dans un autre pays fuient à faire pénitence avec la bénédiction de Dieu.

Et je veux fermement obéir au ministre général de cette fraternité et le gardien qui vous me donner. Et donc je veux être un prisonnier entre ses mains, je ne peux aller nulle part ou quoi que ce soit au - delà de l'obéissance et de sa volonté parce qu'il est mon Seigneur.
Et bien qu'il soit simple et infirme, mais je veux toujours avoir un clerc de me réciter l'office comme il est prescrit dans la Règle.

Et ne dites pas les frères: Ceci est une autre règle, parce que c'est un souvenir, un avertissement, une exhortation et mon testament que moi, petit frère François, avez-vous, mes frères bénis, parce que nous gardons plus catholique la règle que nous avons promis au Seigneur.

Et le ministre général et tous les autres gardiens ministres sont liés par l'obéissance de ne pas ajouter ou soustraire de ces mots.
Et toujours prendre avec vous cette lettre ainsi que la règle. Et dans tous les chapitres qu'ils font, quand ils ont lu la règle, laissez - les lire aussi ces mots.

Et à tous mes frères, religieux et laïcs, je prescris fermement par l'obéissance, de ne pas placer des explications dans la Règle et ces paroles en disant: "Vous devez comprendre", mais, comme le Seigneur m'a donné de parler et d'écrire avec facilité et la pureté de la règle et ces paroles, essayez donc de les comprendre simplement et sans brillance et les observer avec une activité sainte jusqu'à la fin.

Celui qui observera ces choses, peut - il être rempli dans le ciel avec la bénédiction du Père, et sur la terre avec la bénédiction de son Fils bien - aimé avec l'esprit le plus Paraclet et toutes les puissances du ciel et tous les saints. Et moi, petit frère François, ton serviteur, pour peu que je peux, je vous confirme à l'intérieur et sans cette très sainte bénédiction. (Amen).