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L'Histoire de la porcelaine de Capodimonte

 

 

 

LES ORIGINES DE LA PORCELAINE
Le mythe de la porcelaine naît en Europe pendant le XIII siècle quand les premiers marchant européens entreprenants entre qui le Vénitien Marco Pôle doit être rappelé, ils décident de tenter le voyage aventureux vers les terres lointaines de la Chine et à leur retour, soif estimée et épices portent avec aussi quelques exemples de vaisselle exécutés dans ce matériel mystérieux.
Il n'est pas facile d'établir avec exactitude en qu'époque ait été acheminée dans l'Asiatique est la production de la porcelaine même si on est généralisé la coutume de lui circonscrire autour de le l'an Mille quand un type de vaisselle apparut à pétrissage très dur et assez clair recouverts d'une peinture blanche ou marron, communément "prote-porcelaine" définie. Allé de toute façon précisé que la messe à point de cet extraordinaire produit artificiel chinoise comme nous le connaissons, c'est le résultat de la fusion près entre les différentes expériences des céramistes de l'et de l'est lointain arrivé en Deux-cents à la suite de la conquête des Mongols. Ce fut ces contact grâce à avec la Perse et la Mésopotamie qui joignit en Chine l'art de décorer la vaisselle avec le bleu de cobalt, technique que, réalisée sur le plus raffiné je pétris chinois, il devait donner le commencement à cette production spectaculaire de porcelaines dites en "blanc et bleu" que beaucoup d'il aurait longtemps conditionné le goût de l'Europe. L ' Europe admire stupéfait les objets rares et précieux qu'entre le XV et le XVI siècle ils commencent à être importé premier de façon limitée des Portugais et, successivement au 1602, an dans lequel la "Compagnie" des Indes fut constituée, de plus en plus nombreux pour satisfaire la demande croissante des aristocrates européens raffinés qui maladivement si ils les disputaient pour leurs collections hétéroclites il renferma dans les "cabinets de curiositées" ou "wunderkammer". Le succès des porcelaines de Chine transforma le matériel rare d'importation automatiquement en la plus grande source d'inspiration pour les céramistes je sois Européen que du près et est moyen. Tout l'art du vas à partir de la Renaissance jusqu'à la toute la première moitié du siècle XVIII, d'un côté il semble fois à reproduire sur autre matériel décorum et formes qu'ils décalquent les plus typiques de la lointaine Chine, et de l'autre avec tenacement renouvelé essais exposition de ne les pas vouloir se rendre devant le mystère caché du pétrissage blanc de la porcelaine, dur comme une pierre blanc semi-précieux, qu'il continue à se révéler unique inexplicablement avec les terres des pays européens.
Les difficultés techniques et chimiques qui en ont bloqué dans notre territoire jusqu'à les les premiers ans de Sept-cents la réalisation ont comme conséquence autour transformée la porcelaine dans un matériel mythique à laquelle sont fleuries fabulistique légendes et colorié anecdotes qu'ils ont contribué pas peu à l'aura de mystère et de valeur dont beaucoup d'a longtemps bénéficié la production soit Chinoise que Japonais, beaucoup qui le Baron von Tschirnhaus, un Saxon aristocratique, critique vis-à-vis de la passion dispendieuse pour la porcelaine orientale d'Auguste le Fort n'hésita pas à définir la Chine une "sangsue" de la Saxe pendant que l'électeur adressait vers les essais les plus avantageux en même temps pour la produire en je loue. Tout ceci arrivait pendant la dernière décennie de Six-cents quand le problème de la fabrication de la porcelaine était devenu objet d'étude de la part de cette nouvelle catégorie spéciale de naturalistes studieux, qu'ils opéraient essais les plus disparates sous l'égide des "Académies", en particulier le "Academie des Sciences" de Paris et le "Royal Society" de Londres. Le Baron von Tschirnhaus appartenait à cette catégorie d'hommes politique engagés culturellement et entre les autres partisans ardents de ce mercantilisme divulgués par Colbert qu'il misait sur le développement des manufacture réels pour la complète auto-suffisance de l'état. Tout de suite après l'ascension au trône d'Auguste le Fort - arrivée en 1694 - vraiment pour ses contacts, il fut chargé par le nouvel Électeur d'examiner les potentialités minières de la Saxe avec le but de leur utiliser pour installer nouvelles usines. Dans cette atmosphère de recherches scientifiques et de relations académiciennes trouvèrent place large aussi une nouvelle catégorie d'aventuriers géniaux, les arcanisti qui promettaient résultats sensationnels et ils laissaient s'entendre en pouvoir transformer en laboratoire des métaux lâches en or en particulier. Entre ces personnages, certainement géniaux quoique de peu scrupules, il encaissée crédibilité spéciale vraiment avec le mirage de réussir à changer métal quelconque en or, un Saxon jeune, Johann Friedrich Bóttger, qu'en 1701, dès que de dix-neuf ans, il fut enlevé par Auguste à la lettre le Fort et soutenu pour quelque an à exercer les siennes discutées capacité alchemiche dispendieusement. Cependant quand en 1707, une fois vérifiée l'inutilité de ses essais vint imposée lui de travailler sous la surveillance du Baron von Tschirnhans, ses connaissances de technicien de laboratoire ils lui permirent de découvrir enfin - déjà en 1708 - le secret mythique de la composition de la porcelaine qui en détermine les deux composants fondamentaux du pétrissage, le kaolin ou le feldspath: le premier irréprochable aussi à hautes températures et le second fusible pendant la cuisson et ensuite avec la fonction essentielle de legante pour les grains infinitésimaux caolinici.
L'Europe découvrit aussi donc ainsi, merci vraiment au "charlatan Bóttger, de ce qu'elles étaient constituées les "os" et la "viande" du squelette de la porcelaine selon la définition heureuse utilisée par les Chinois pour désigner le kaolin et le feldspath.
DE MEISSEN AU REAL USINE DE CAPODIMONTE
(1743-1759)
L'usine de Meissen entrée en activité en 1710 il ne réussit pas à maintenir oubliette longtemps la formule de la composition de la porcelaine caolinica, ou de ce type de porcelaine dite communément "Vous pâte dure". Vous premiers renseignements vitaux filtrèrent déjà en 1717, quand Bóttger sous l'effet de l'alcool se fit circonvenir du doreur C. K Hunger un collaborateur extérieur de l'usine. Hunger obtenu les nouvelles essentielles, tout de suite il se déplaça à Vienne où Claudius Innocent Du Paquier désirait ouvrir une usine en concurrence avec celle de Meissen. Cependant il se rendit bien bientôt y compte que pour produire la porcelaine il n'était pas suffisant d'en connaître la composition chimique, mais parce que le procès de fusion et d'agglomeraggio pût se vérifier, il était essentiel de procéder à la cuisson en briqueterie qu'ils permissent la réalisation de températures hautes, beaucoup de supérieurs au nécessaires pour les faïences. Du Paquier donc pour réussir son but, il dut attendre jusqu'à le 1719 quand aussi Stólzel, un jour technique Meissen decidette de se déplacer au Vienn -, en portant avec si les dessins du four spécial de porcelaine.LA RÉELLE USINE FERDINANDEA
En partant de Naples roi Carlo, au-delà à porter à sa suite en Espagne tout ce qu'il était transportable de l'Usine de Capodimonte, il avait explicitement cherché des structures fixes rendre inhabitables, soit parce que de l'Espagne il craignait maintenant qu'une reprise de production de la porcelaine à Naples pût se révéler une concurrente redoutable pour celle du Buen Retiro, et je sois pour l'attachement morbide réservé à sienne manufacture napolitain le plus réussi. Ensuite pour toute le période de la régence, avec Ferdinand IV garçon jeune - au moment du départ du père Ferdinand avait seulement neuf ans - le projet d'une nouvelle usine pour la porcelaine ne se mit pas non plus quoique nombreux des anciens ouvriers de Capodimonte rentrés de l'Espagne, ils écrivissent lettres pour obtenir subsides ou pour suggérer de reverdir une tradition que beaucoup de lustre avait donné à la couronne au temps de Carlo. Vous dut attendre le supérieur âge de Ferdinand IV cependant parce que le roi jeune pût commencer à prendre des initiatives autonomes en les soustrayant au contrôle lourd que le père exerçait de l'Espagne je traverse son ministre fiable Bernardo Tanucci que quotidiennement il se renseignait epistolairment le sur événements napolitains les plus menus. Entre les premières décisions autonomes de Ferdinand il y avait cependant l'ouverture d'une nouvelle usine de porcelaine les lequel essais initiaux vinrent municipaux vraiment dans un bureau en grand secret à l'insaputa du ministre propre Tanucci pour éviter que de l'Espagne il joignît un veto avant qu'ils se fussent obtenus des résultats. Seulement en 1773 quand ils s'étaient déjà résolus soit les problèmes techniques qui le diplomatiques avec Carlo, la nouvelle usine fut déplacée à Naples et il commença sa production effective. Avant de nous enfoncer dans un examen détaillé de cette seconde production napolitaine doit être précisé que, pendant que la production de l'usine précédente de Capodimonte peut être considérée comme correspondante aux caractères stylistiques unitaires pour la brièveté de sa période d'activité, les porcelaines du Real Usine Ferdinandea ils apparaissent divisible de le point de vue stylistique en trois bien différentes périodes: le premier depuis 1773 au 1780 quand la direction artistique fut confiée au peintre célèbre et sculpteur Francesco Célébré - dont le rôle se révélera déterminant surtout aux buts formatifs pour la nouvelle génération de plasticatori - et la conduite administrative effective à Tommaso Perez; la seconde et période heureuse de la direction de Dominique Venu - de 1780 à 1799 - en coïncidence avec la période de vingt ans d'ore en qui eut le moment de grande floraison de tous les arts napolitains au-delà au grand exploit du Real Usine Ferdinandea de la porcelaine; finalement les derniers et difficultés ans - de 1800 à 1806-vivement marqué par les vicissitudes de la République Partenopea et des difficultés financières du Royaume et en particulier liée par la perte des rentes personnelles de Maison Réelle à l'héritage de Gaston des Médecins. La production de la période Perez (1773-1780) du point de vue stylistique, il résulte substantiellement adressé sur deux veines: d'un côté il y a un nostalgique regarder à la production du manufacture précédent de Capodimonte en arrière, avec des résultats d'affinités dûes surprenantes aussi à la ressemblance de pâte et à la technique ponctuelle même utilisée pour les décorations; de l'autre il y a une certaine tendance à suivre la mode la plus actuelle en imitant spécialement dans la vaisselle la production du manufacture français de Sèvres que pendant la deuxième moitié des sept-cents fins avec l'assumer le rôle d'usine-pilote détenu en priorité de Meissen.
Les deux les gendres, bien qu'aujourd'hui ils soient rhabillés à nos yeux du charme de la rareté - peu ce sont les exemplaire joint à nous et leurs mêmes imperfections techniques ils représentent un élément d'attraction incomparable, ils dénoncent de toute façon que la nouvelle usine n'avait pas encore déterminé de propre style. Aussi elle peu illustrations plastiques qui pouvons attribuer à la période Perez comme supérieur avec certitude semblent avoir caractéristique l'absence de constantes stylistiques unies au manque de qualsivoglia règle par conséquent qu'il concerne les dimensions des illustrations: petits quelques-unes résolument et brouillons, autres je dirais statuaire. Ce manque de répétitivité et la coutume de ne pas marquer les plastiques - s'il a rarement laissé non entièrement aussi pendant très longtemps dans l'anonymat quelques-unes très belles illustrations pendant qu'autres splendides modèles du Célébrent, à cause de l'affinité de pâte, avec l'usine précédente de Capodimonte, ou elles ont longtemps été attribuées à cette dernière, ou à l'usine du Buen Retiro.
Quand dans les derniers mois de 1779 Tommaso Perez mourut, il vint nommé à lui remplacer le marquis Dominique Venu que cependant au-delà à en assumer le rôle technique-administratif même rhabillé par son prédécesseur, il enlaça ce bien complexe aussi de la supervision artistique. Pour l'ils Célébrent la décision réelle - certainement inattendue - elle fut dure et difficile à accepter mais le grand exploit du Real Usine Ferdinandea reste objectivement pas au hasard lié vraiment au nom de Venu et à la période de sa direction, ou à la période de vingt ans heureuse 1780-1800.
Peu plus d'un an après la nomination de Dominique Venu à Régisseur de l'usine de porcelaine - et il semble pour sien explicite vouloir - la direction artistique matérielle fut subdivisée entre deux personnalités connues, Filippo Tagliolini et Giacomo Milani. Au premier, sculpteur affirmé, avec à ses expériences actives dans les usines de porcelaine de Vienne et Venise, il se confiait la direction du modelé; par seconde elle était confiée la responsabilité de la "Galerie" des peintres. on procédait à la réorganisation des structures primaires Parallèlement: nous savons que dans le juillet des 1780 "deux Allemands", spécialistes de l'usine de Vienne se consacraient aux essais différents pour améliorer la pâte de la porcelaine pendant que sous leur consultation ils les construisaient nouveaux briqueterie. Autres techniciens furent appelés par la Toscane - nombreux c'étaient les contact de Dominique Venu avec cette région en tout ce qu'il appartenait à une famille connue cortonese et on tâcha d'attirer à Naples les meilleurs céramistes de l'Usine en particulier de Saint Donné qu'autour au 1780 il fermait, au-delà que de la même usine des marquis Ginori à la Douche.
Cependant l'aspect le plus intéressant de la révision du Venu fut l'intuition heureuse indubitablement de transformer le manufacture Réel dans une école d'art devant lettre. Le premier je passe dans cette direction ce fut l'institution de la "Académie" du nu en qui en cours tenutí de l'après-midi de Costanzo Angelmí, dírettore dell' Académie de Belle Arts les enseignait technique et règles du dessin et du modelé en relation à l'anatomie. Les artistes doués venaient dans un deuxième moment envoyé le plus, aux dépenses de la Couronne, à se perfectionner près des ateliers d'artistes citadin les plus connus, ou à Rome où ils pouvaient, à l'achèvement de leur instruction, reprendre du vrai les oeuvres d'art ancien des Musées Capitolini et les monuments les plus connus de la ville. Le manufacture entre temps, aussi l'usine de la porcelaine qui en reste substantiellement, il s'articulait en nouveaux travaux collatéraux comme un petit atelier pour le travail des aciers et un secteur dédiés à la "argile à l'usage anglais", ou à un type de faïence parent par alliance blanc à l'earthenware. En addition, dans les ans suivants, avec l'arrivée à Naples des sculptures anciennes en priorité conservée à Rome dans l'Immeuble Farnese, il vint organisé un petit laboratoire de restauration pour ces oeuvres de lesquelles avait l'habitudes d'exécuter calques parfaits en craie destinée aux différentes Académies citadin aussi.

 

 


Par conséquent qu'il concerne les motifs décoratifs, l'action de Venu il fut déterminant aux buts de la caractérisation de la production. Il réussit à briser une coutume maintenant stratifiée en tous les manufacture de porcelaine européenne, aussi réalisée au Capodimonte, qu'il consistait à tourner déjà pour les ouvrages scènes picturales céramiques de gravures caractéristiques, et par contre, en renversant le rapport, il sut transformer les motifs créés pour la porcelaine en modèles de lesquels les gravaient splendides branches qu'en circulant dans le milieu cultivé européen ils devinrent ils aussi mêmes une grande source d'inspiration dans les pays d'oltr'Alpe. il doit être rappelé que Dominique Venu était un homme de grande culture et fils de ce Marcello Venu qu'il avait donné le commencement au temps de Carlo de Borbone aux premiers creusements d'Ercolano. Resté orphelin jeunet il avait été éduqué aux dépenses de la couronne dans le Royal Paggeria de Naples, institution en laquelle étaient formés. Ceci explique d'un côté son grand amour pour l'ancien, et de l'autre, la prédisposition à cueillir les aspects les plus intéressants de la culture et des traditions locales. Ces deux adresses stylistiques, sommairement reconductibles à l'archéologie et au folklore, les plus grands mécènes trouvèrent, le premier dans la Reine Maria Carolina et la seconde dans le même Ferdinand IV. Par conséquence à l'occasion des grandes vendeuses réelles, Venu avec sensibilité méticuleuse et cultivée il tourna son attention avant tout vers le patrimoine artistique des Borbone - les fresques pompeiani et ercolanesi pour le "Service Ercolanese" envoyé en cadeau à Carlo III en Espagne en le 1783 et la récolte de vases anciens de la collection borbonique pour le "Service Étrusque mandat en cadeau à Giorgio III de l'Angleterre en 1787 - et à la suite de dépêches réelles explicites émises par Ferdinand, vers la documentation iconographique des Testiture du Royaume ainsi que des plus belles vues de Naples, de ses alentours, et des plus importants monuments archéologiques du Royaume des deux Sicile.
Parallèlement donc aux services inspirés aux peintures, bronzes, vases et sculptures de provenance archéologique on exécuta entre le 1784 et le 1787 le premier "Service" des Vestiture pour qui les peintres Alessandro D'Anna et Antonio Berotti retirèrent du vrai "au gouache" les façons différentes des habiller en usage à Naples et dans la province de terre de travail. Successivement Antonio Berotti avec Stefano Santucci ils continuèrent leur documentation minutieuse iconographique en les déplaçant minutieusement pour presque onze ans à travers le plus petits et isolé centres habités. L'envoi de ces deux peintres itinérants qui se prolongea jusqu'à le 1797 fournit à Venu un matériel précieux qu'il permit de réaliser autres versions de plus en plus avec les illustrations populaires amples et complètes. Aussi le motif de la vue vint codifié premier de D'Anna et puis de Berotti et Santucci en contemporaine à ce des vetement régionaux et aussi repris par la suite avec succès d'autres artistes citadin entre qui doit être énuméré, Giacomo Milani. Les sujets des plastiques, presque toutes vous exécutez selon la mode du temps en série née pour composer les desserts de centre-table, ils étaient exécutés du sculpteur Filippo Tagliolini et de ce groupe choisi d'artistes qu'ils s'étaient formés aux dépendances d'ils Célébrent dans le même style des services de plats à lequel devaient les accompagner. Nous avons si tout l'échantillonnage ample constitué des pièces de Pompéi et du recueilli Farnese utilisé pour illustrations en biscuit à les assortir aux services inspirés à l'ancien et une représentation colorée et vive de paysans et d'hommes et femmes du Napolitain destinées aux services avec les vetement des je Règne et à ceux-là avec des vues. Une mention spéciale mérite le "dessert du Real PasseggiJ que Filippo Tagliolini exécuta entre le 1795 et le 1800 pour compléter le "Service des vues Napolitaines" - plus connu comme service de l'oie donc destiné à la table du même Ferdinand IV Le succédé rencontrée déterminé par le répertoire figuratif de Venu il fut énorme aussi parce qu'il représentait le "souvenir" parfait que le touriste cultivé du "Grand Tour" aimait apporter avec soi en rentrant en patrie. Et vraiment grâce à telle circonstance collatérale ces prototypes, quoiqu'en partie ajourné selon le goût du dix-neuvième siècle, ils continuèrent à être répété pour au-delà cinquante ans surtout des beaucoup de peintres décorateurs qu'en huit-cents ils se consacrèrent à la peinture sur porcelaine. En le 1800 au retour à Naples des Borbone après le bref exil causé par la Révolution de 1799, Dominique Venu, accusé d'avoir collaboré avec les troupes françaises, il était destitué par la charge de Régisseur. La direction du Real Usine Ferdinandea, après un bref interrègne, elle était confiée à Don Heureux Nicolas que malgré les difficultés financières graves il réussissait à la maintenir en activité jusqu'à le 1806. Avec l'arrivée des Français qui note arriva, dans le décembre de 1806, le Real Usine Ferdinandea termine son activité. En 1807 ils sont payés les travaux laissés incomplets des artistes, ils les remplissent les inventaires de toute la production existante dans les pièces de l'usine et Giuseppe Bonaparte, dans le mai de 1807, signature le contrat de cession du monopole de la porcelaine à une société de particuliers représentée par le Suisse Giovanni Poulard Prad.
polyedricité DE LA PRODUCTION CÉRAMIQUE EN 800
Pendant que pour la période d'ore de la porcelaine napolitaine de Sept-cents on est pu tracer une récapitulation chronologique en suivant avec ordre l'évolution stylistique et qualitative de la production borbonica, il se relève au contraire extrêmement plus problématique résumer événements, transformations esthétiques et sources d'inspiration de la production céramique du dix-neuvième siècle.
Les renversements politiques traumatiques et répétés qui se succédèrent au rythme pressant pour toute la première moitié du siècle jusqu'à la l'unité de l'Italie se répercutèrent en renversements profonds aussi dans la vie quotidienne napolitaine. S'il est vrai que la classe des aristocrates, quoique durement frappée par la ruine du feudalità, il réussit à maintenir importantes positions politique, il est vrai aussi que dans les charges officielles à côté des noms des noblesses, ils commencent à apparaître autres en, du nouveau tout et sans blason. La richesse réelle caractérisée par la disponibilité d'argent liquide était passée en effet dans les mains de cette bourgeoisie citadin et provinciale parcimonieuse qui investissait ses capitaux dans les terrains rendus le disponibles de l'expropriation des biens ecclésiastiques ou des latifondi que l'aristocratie était contrainte à vendre pour continuer à maintenir son ton dispendieux de vie. Au même temps la monarchie de Murat ne pouvait pas se permettre de subventionner manufacture réels en faire continuellement front aux demandes pressantes d'argent que Napoléon à la France il demandait pour ses campagnes de guerre. Dans un panorama si variable et instable il ne surprendra pas donc qu'aussi en domaines plus petits ils se fâchassent reculs négatifs. Par conséquent qu'il concerne la porcelaine, comme il s'est déjà mentionné, le gouvernement française signature en 1807 l'acte de cession du monopole pour la fabrication de la porcelaine à des particuliers représentés par Giovanni Poulard Prad. Comment siège vient donnée aux concessionnaires l'ancien Monastère de S. Maria de la Vie - aujourd'hui devenu l'hôpital Saint Camillo - où la production reprend entre difficultés économiques considérables. Entre l'autre dans le contrat de cession le nouveau gouvernement français, pour garantir un minimum de vente à la société, il avait promis d'effectuer acquisitions de porcelaines correspondantes à un impôt mensuel de 1000 duchés pendant que de côté ils les concessionnaires s'étaient appliqués à embaucher tout le personnel du précédent Real Usine Ferdinandea.
Cependant assez rapidement Murat, à cause de la situation politique, il ne fut pas apte à maintenir l'engagement de l'acquisition mensuelle et Poulard Prad ne réussit pas au tener par conséquence foi à tout ce que promise vis-à-vis des anciens céramistes. Cette crise d'entreprise dans un certain sens inéluctable contraignit les ouvriers formés l'à les dépendances du manufacture réel à nourrir à la cuillère les rues alternatives du travail de la faïence ou de la décoration sur porcelaines produites à l'étranger et vous importez blanches vraiment à la telle fin. La préparation extraordinaire soit technique qu'artistique de cette classe artisanale malheureuse trouva ainsi manière de donner vie à une production vaste et articulée de céramiques que la nouvelle classe petite ville riche il apprécia énormément aussi pour les prix diversifiés correspondants aux différentes possibilités économiques des acheteurs. En les à propos de cinquante ans qu'ils existent entre la fermeture du Real Usine Ferdinandea et l'unité de l'Italie, Naples réussit très sans incident ainsi au tener vif l'ancienne tradition de le dix-huitième siècle, premier avec les belles porcelaines Poulard Prad où entre rupines et dorures plus du dix-neuvième siècle nous retrouvons les ferdinandei sujets heureux enluminés avec autant de maîtrise picturale. Ils sont les vestiture régionaux, les vues et les décorum pompeiani déterminé et codifiés pendant la direction Venue qu'ils conquièrent encore une fois pour leur "napoletanità" soit les touristes raffinés que la nouvelle riche bourgeoisie citadin. Successivement à la faillite et à la fermeture de l'usine de Sainte Maria de la Vie, ces mêmes sujets nous les retrouvons longtemps encore, jusqu'à la moitié '800, peintures avec technique de plus en plus raffinée par cet entourage resserré de miniaturistes qu'il tournait l'autour de les laboratoires de Raffaele Valu en, Francesco Landolfi, Gennaro Cioffi, Sauveur Mauro, Sebastiano Oignon et nombreux autre ancre.
Les ouvriers techniques nourrissaient à la cuillère parallèlement plusieurs spécifiquement la rue du travail de la faïence, maintenant en les associant avec les Du Vieux ou les Giustiniani qui déjà depuis quelques décennies ils se consacraient à ce travail, ou en ouvrant autres usines au caractère plus ou moins familier en concurrence avec eux. Une mention spéciale ils méritent les Migliolo, la Mie et les Colonnese: les premier en les associant initialement aux Giustiniani ils produisirent splendides faïences décorées dans le style ferdinandeo soit avec des vues qui avec des scènes populaires marqués FMGN, Usine Migliolo Giustiniani Naples, la Mie ils excellèrent dans le travail des terres cuites aux illustrations rouges ou aux illustrations noires à la manière des vases de creusement principalement pendant que les Colonnese doivent être rappelés plus que pour la vaisselle, pour les beaux "riggiole" à la Napolitaine.
DE L'ITALIA UNI À AUJOURD'HUI: LA NAISSANCE DU STYLE NATURALISTE CE "CAPODIMONTE"
Aux buts de la production céramique napolitaine, l'unité de l'Italie vient fermer avec une date historique un cycle productif qui de fait on ère allé lentement éteint le 1850 à partir de. Après l'exploit de le dix-huitième siècle vif qui grâce à les manufacture bourbonien avait mis nos porcelaines aux les plus hauts niveaux artistiques en leur permettant de disputer le marché à celles-là de Meissen et de Sèvres, la production napolitaine il avait pu affronter grâce à brillamment encore la première moitié de huit-cents les artistes et aux techniciens formés l'à l'ombre du Real Usine Ferdinandea sous le guide de Dominique Venu. Mais à mesure qu'à cette première génération d'ouvriers elles s'étaient allées en remplaçant les nouveaux leviers, il commença à se profiler une certaine "décadence" caractérisée par aspects de provincialisme inévitablement. Autour les fermés après pour faillite en 1848 l'usine Giustiniani et peu à la 1855 celle des Du Vieux, nous pouvons dire qu'elle fut interrompue la transmission directe du métier brusquement de père en fils et bien que sur l'étage technique les jeunes résultent encore apte à travailler bien, sur l'étage créateur ils apparaissent limité vivement.
Mais aussi la matière n'est plus la même: la porcelaine est du tout disparu après les derniers produits que les Giustiniani, associé aux du Vieux, ils avaient défournè entre le 1830 et le 1840 et aussi la "faïence à l'usage anglais', qu'avec beaucoup de succès elle était entrée dans les maisons citadin plus aisées, elle n'est plus travaillée. Les petites industries citadin différentes travaillent un pétrissage de terre plus semblable à la faïence qui présente peu problèmes de façonner et de cuisson mais qu'on ne prête plus à l'exécution de services de plats et d'une façon générale à la vaisselle fonctionnelle de table qu'il avait été le plus grand orgueil de la production locale pendant les premiers cinquante ans de huit-cents.
Nous nous sentons affirmer donc qu'il est le 1850 vraiment à partir de qu'on va affirmant à Naples un genre de produit céramique simplement décoratif et voluptuaire comme les plats de mur, les figurines et les éléments architecturaux natals pour être inséré dans les bâtiments "modernes." Cette évolution de la production trouva terrestre en partance fertile en l'évoluer ouvertement maintenant du goût vers les "Revivals" et qu'ils exprimaient bien la situation je sois social que politique des ans de l'unité italienne caractérisée par contradictions vives cause du contraste fondamentalement entre les exigences du capitalisme industriel naissant et la réalité d'un pays comme l'Italie il ancre marqué de différences marquées de vie et de coutume entre les régions du Nord et celles du Sud. Sur l'étage telles ambiguïtés culturelles je dicterai vie aux nouvelles et différentes tentatives de relecture du passé, en particulier la redécouverte d'une culture populaire, que dans les intentions il avait le but d'anoblir les classes les plus humbles et ouvrières et de se les rapprocher du d'entrepreneur et la relecture d'un passé soutenu et de l'historisme qu'il se jeta dans la production grain de beauté-gothique et grain de beauté-de la Renaissance romantique.
Le monde de la céramique plusieurs des autres branches des arts soi-disant "plus petits" fut déchiqueté des différents et contrastants courants culturels qui poussa ses auteurs aussi vers les gendres très différents selon le réalités régionales spéciales mais en étreinte relation soit avec la situation locale dans lequel ils opéraient et je sois correspondant de plus en plus aux exigences d'un public vaste et hétérogène. Il en obtint qui dans le centre et nord de l'Italie le goût du "Revival" vint entendu le plus et il se développa en opposition plus près au "Naturalisme" et au "Terismo" à l'entendre les auteurs méridionaux. Ceci n'arriva pas au hasard: tous les mouvements évocatoires nostalgiquement du passé, ils soient ils le grain de beauté-classique le grain de beauté-de la Renaissance le grain de beauté-rococo, au-delà de leur programme éthique-esthétique a toujours été la voie pour la redécouverte d'une tradition artistique nationale. En autres mots, tels mouvements ont toujours coïncidé avec la naissance et le se répandre de l'idée de nationalisme. Il n'étonne pas donc que l'aller dans le temps à reculons ait résulté plus naturel en ces régions italiennes qui avaient dirigé de l'unité nationale et bénéfices plus immédiats. Au "Sud", même si en manière inconsciente, la situation de déception et mécontentement il se révéla de deux manières: en les concentrant sur cette réalité prosaïque espèce quotidienne de petite vériste anecdotique, ou sur l'exaltation du "Naturalisme", mouvement d'autre part aussi très actuel dans ces ans en qui allait les répandant.
Dans ce siège il est voulu les donner évidence spéciale au passage des prototypes de dérivation de le dix-huitième siècle à ceux de la période post-unitaire en combien le travail des fleurs qui constitue encore aujourd'hui le coeur de la production céramique napolitaine qui avec nostalgie, quoique "Capodimonte" est dénommé improprement, dans le monde entier, il descend pour les branches les vérifiés par l'évolution stylistique vraiment dans la dernière difficulté période de vingt ans du siècle dernier.
LA RENAISSANCE DE LA TRADITION CÉRAMIQUE
Comme déjà mentionné, l'unité de l'Italie surprend Naples dans un moment de crise artistique. Cesare Tropea reporte dans son essai de 1941 "Le Musée artistique Industriel et le Royal Institut d'art de Naples" que les écrivains du temps affirmaient que de l'art appliqué n'était pas resté que la technique.
Déjà dans le 1853 Carlo Santangelo, en son intervention au institute d'Encouragement, il remarquait avec regret que la fabrication des porcelaines n'existait plus en Naples pour insuffisance d'organisation et de capitaux et que la vaisselle importée par l'étranger ils avaient envahi le marché en causant le couché du soleil de la production locale. Le Santangelo avec grande intuition, en croyant que "ces arts ont besoin du dessin linéaire qui manque à nos artistes, car ils manquent entre nous les écoles industrielles", il dénonçait le désintéressement des institutions et il se faisait porte-parole de mesures au soin. les discutés plus tard il était repris une décennie de Giuseppe Novi qu'il confirmait la nécessité de fonder écoles d'art avec annexe Musée où les élèves jeunes pussent apprendre la technique en même temps et connaître les oeuvres d'art du passé. Allé en outre rappelé que Novi soutenait avec des clairvoyances aussi la nécessité de créer un bureau de céramique dans le cadre de l'académie de Belle Arts.
Après l'unité de l'Italie, dans le programme plusieurs vaste de révision général de l'instruction artistique nationale et en concomitance avec la première Exposition d'oeuvres d'arts "Belle" vint organisée à Parme, dans le septembre de 1870, le Premier Congrès Artistique. Dans cette occasion toutes les villes envoyèrent oeuvres de leurs meilleurs artistes mais les représentants du Ministère de la Publique Instruction et les différents Composants du Comité jetèrent les bases du nouveau programme de formation surtout de lequel le projet de transformation des Académies de Belle Arts jaillit en Instituts d'art à accoler aux systématiques Expositions qu'à le tour elles se seraient tenues en les plus grandes villes italiennes. Il fut ainsi qu'à Naples en 1877 elle fut organisée la grandiose Exposition de l'art Ancien Napolitain" et, le prêt des plus importantes familles de la ville fut exposé les récoltes exceptionnelles privées d'art appliqué grâce à. En particulier les porcelaines, grâce à les récoltes du Duc de Martina de Sangro, des Comptes Correale, de la Duchesse de Bivona et du Prince Filangieri détachaient pour leur beauté extraordinaire. Tu en obtiens qui les plus grands représentants du comité d'organisation, guidés par le Prince Filangieri, ils se remuèrent au niveau national pour obtenir qu'à Naples il vînt ouvert au plus tôt un Institut de formation artistique. Grazíe aussi à l'appui du Ministre De Sanctis déjà dans le novembre de 1878, avec Royal Décret, il était modifié l'ordre de l'institut de Belle Arts de Naples et subdivisé en deux sections; la premier avec les écoles de peinture, sculpture, architecture, et la seconde dédiées à l'enseignement du dessin et avec les écoles de pratique application. Avec un décret ministériel suivant de l'octobre de 1880 le Musée Artistique Industriel était fondé avec les écoles annexes ateliers. Le Conseil Directeur présidé par le Prince Gaetano Filangieri de Satriano nommait Directeur du Musée pour les acquisitions et la récolte des lais d'oeuvres anciennes l'artiste Domenico Morelli pendant que, pour l'enseignement du travail de la céramique, il se fit recours au connu peintre Filippo Palizzi.
Tels choix devaient bien bientôt donner leurs fruits. L'atelier de la Céramique déroula avec succès pour au moins une période de vingt ans le rôle double d'école et d'usine où, en les servant aussi de céramistes extérieurs en vigueur dans ces ans à Naples, ils les exécutaient grandes oeuvres projetées par Palizzi de Morelli ou de Tesorone. Cette institution, toujours existant dans notre ville, il déroula un rôle déterminant en le maintenir je vive la tradition céramique. Les oeuvres aujourd'hui conservées dans le même siège du dix-neuvième siècle de Piazzetta Salazar illustrent bien l'engagement avec lequel maîtres et élèves se consacraient à l'art du grand feu.

 

 

 

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