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Oscilloscope PM3250
Oscilloscopio PM3250


Les blocs représentés en vert dans le schéma s'occupent de la déflexion verticale; l'oscilloscope doit représenter une forme que possède une ampleur proportionnelle au signal appliqué.
Le premier bloc c'est un réducteur; en effet dans les blocs suivants le signal sera amplifié, donc il est nécessaire de l'atténuer préalablement afin de ne pas sortir de la zone linéaire de l'amplificateur, chose qu'il provoquerait une distorsion du signal. Le réducteur peut être réglé par l'utilisateur par un commutateur " à marches ", afin de changer l'ampleur du signal sur l'écran, en connaissant cependant avec bonne précision le facteur de réduction.
Pour que le signal représenté sur l'écran soit proportionnel au signal appliqué, il est nécessaire que cet réducteur soit simplement ohmique; cependant, nous ne sommes pas capables de réaliser des résistances pures quand nous travaillons à la haute fréquence; cela veut dire qu'en parallèle à chaque résistance il se trouvera une capacité parasite. Pour obvier à cet incovénient nous insérons en parallèle aux résistances des capacités variables qui seront réglées pendent la mise au point de l'instrument. Le but est ce de créer un diviseur avec compensation, c'est-à-dire un diviseur dans lequel R1*C1=R2*C2 =... = Rn*Cn


Dans ces conditions le diviseur fonctionne de manière analogue à celui-là représentée en illustration 2
La résistance équivalente est égal à la somme des résistances et donc c'est un résistance de valeur très élevée, comme il est exigée par un instrument de mesure de tension, afin de ne pas altérer le circuit sur lequel on est en train d'effectuer la mesure même. La capacité équivalente est par contre très petite en étant,: 1/Ceq=(1/C1)+(1/C2)+.... +(1/Cn).
On réussit ainsi à obtenir un rapport de réduction indépendante de la fréquence du signal.
Avant d'aller aux plaques de déflexion verticale, le signal est amplifié et transformé par mono-filer en bi-filer; si une des plaques venait poste à la masse, la conformation du champ électrique serait tel à créer, en plus de la déflexion, une accélération des électrons pour tensions de l'autre plaque positif, un ralentissement en cas de tensions négatives, chose que nous ne pouvons pas accepter pour ne pas déformer le signal; on peut avoir par contre un champ uniforme en envoyant aux deux plaques deux signaux égaux, avec même ampleur, moitié du signal à représenter, mais en opposition de phase.
Le réducteur est donc un circuit passif à la haute impédance; au contraire l'amplificateur aurait-il bien piloté par un générateur idéal (donc un circuit à la basse impédance). Entre les deux blocs un circuit translateur d'impédance est donc nécessaire ; il montre une impédance élevée en entrée et une basse impédance en sortie. Celui-ci est le pre-amplificateur.

Les blocs en couleur pourpre s'occupent de la génération de l'axe des temps; un signal qu'il grandit linéairement avec le temps c'est une rampe; pour avoir une répétition périodique de la rampe, nous devons réaliser une " dent de scie ".
Le bloc 2 est un " multivibrateur astable " qu'il engage un signal carré indépendant du signal à visualiser; par intégration du signal carré on obtient la rampe. Dans cette modalité dénommée AUTO, on obtient une dent de scie, aussi en absence de signal appliqué à l'extérieur; ceci permet la visualisation d'une ligne continue sur l'écran
Le multivibrateur se transforme en astable piloté, quand on applique des poussées avec constante de temps plus bref de la sienne propre constante de temps. Ces poussées se réalisent avec un autre multivibrateur (bloc bleu) en correspondance des points dans lequel le signal d'entrée égalise une tension continue de level.
Quand le circuit de Hold-off est activé, modalité TRIG, l'astable fonctionne en modalité monostable, c'est-à-dire la fréquence d'oscillation est verrouille. À son tour l'auto-circuit peut désaffecter le circuit de Hold-off, en réussissant ainsi à obtenir des dents de scie de l'ampleur voulue, donc indépendante de la durée effective du signal ; on peut le régler à travers le "Time division" de l'oscilloscope, en visualisant un ou plus périodes du signal.
L'asservissement du dent de scie au signal appliqué, par la comparaison avec le level, permet d'obtenir une image stable sur l'écran. La régulation du Level déplace la visualisation horizontalement, parce qu'il détermine en correspondance de lequel point du flot on obtient le départ du dent de scie..

L'axe des temps secondaires vient issu de manière identique au précédent. Il possède son régulateur indépendant de la durée, mais il est décroché en comparant la dent de scie primaire avec un autre signal de level, bloc orange . Bientôt nous verrons à quoi il sert.

Le Z-Amplifier, bloc jaune contrôle le gril qui est poste devant la cathode de l'oscilloscope. Un gril négatif bloque tout le faisceau électronique, en permettant d'effacer le faisceau de retour de la rampe qui donnerait endroit à des lignes fastidieuses sur l'écran. Il est possible aussi rendre moins négative ce gril, en permettant de souligner quelques zones de l'écran avec une trace plus lumineuse. C'est le devoir de l'axe des temps secondaires ! L'axe des temps secondaires permet de souligner un trait de l'image, pendant l'existence du dent de scie secondaire.

En couleur pourpre, nous voyons aussi, connexe aux plaques de déflexion horizontale un amplificateur connexe à un déviateur (X-Defl); par ce commandement il est possible de choisir si envoyer aux plaques horizontaux l'axe des temps primaire, l'axe secondaire (en obtenant donc un agrandissement de la zone sélectionnée) ou un signal extérieur, provenant en ce cas de l'entrée B.

L'axe des temps secondaires est très important pour visualiser agrandi des particuliers qui présente une basse pente; en tel cas en effet le croisement avec le level ne serait pas bien défini et il serait difficile de maintenir l'image stable. Avec ce stratagème on obtient la synchronisation avec l'axe primaire, dans une zone de la courbe à pente forte et la visualisation sur l'écran d'une zone différente.
La synchronisation sur entrée B est utile pour envoyer deux signaux différents aux deux as de l'oscilloscope, par exemple pour calculer les relations de phase par les illustrations de Lissajou, ou pour visualiser de signal particuliers comme le flot radar (paquets de flot sinusoidale) dans lequel il faut s'accrocher sur les paquets et pas sur leur portant sinusoidale.

Pour finir on a un switch marqué en clair bleu. L'oscilloscope, en effet, peut visualiser une seule signal à la fois, mais avec un switch très rapide il est possible d'en alterner la vision de deux entrées sans que notre oeil comprend que l'instrument triche; en modalité "HALTE" elle est dédiée une dent de scie à chaque flot ; en modalité "CHOP chacun des deux formes vient "morcelé" et un fragment de chaque signal est visualisé alternativement, à l'intérieur de la même dent de scie.

Un lien à cette page est disponible sur Wikipedia - fr  - voix Oscilloscope


http://digilander.iol.it/wgiocoso