Considérations économiques, philosophiques et ambiantes.

 

Dans l'optique d'un développement progressif de l'économie mondiale, les principales sources énergétiques de l'avenir sont l'énergie solaire et les nucléaire, comme aussi affirmé par le savant Nobel Prix Carlo Rubbia.

 

En particulier l'augmentation graduelle pourcentage de la jouissance des énergies renouvelables ne peut pas que porter à la la plus grande valorisation des fossiles combustibles et des hydrocarbures; une économie qu'il continuât par contre à considérer les hydrocarbures comme source presque unique d'énergie et de matières premier il irait au-devant de crises périodiques et récessions, pour l'augmentation inévitable du coût du pétrole.

 

Vous peut apercevoir ensuite, aux grandes lignes, soin les hydrocarbures et les énergies renouvelables, un procès semblable à celui-là qui, dans les systèmes économiques monétaires des nations industrialisées il porta abandonner l'équivalence entre la valeur numérique de la monnaie en papier et la valeur de l'or.

En effet, pendant le grand développement économique du pèriode industriel bien bientôt la monnaie d'ore il devint insuffisant à garantir toujours le grand volume d'échanges économiques et il fut nécessaire d'imprimer toujours une grande quantité de monnaie en papier, aussi pour couvrir les dettes des structures publiques dans les états différents, en perdant bien bientôt la valeur de convertibilité avec l'or, tourne pour fois établie.

D'autre partie le papier monétise elle s'est révélée un instrument valide pour garantir toujours le grand développement des échanges économiques, en remplaçant progressivement par il l'or, mais elle ne peut pas être utilisée pour réaliser bijoux pour lesquels reste indispensable ce métal précieux certainement.

 

Un raisonnement semblable on peut faire avec les énergies renouvelables aussi; étant donné que pour le développement économique il est essentiel une disponibilité énergétique large, une augmentation progressive pourcentage des énergies  renouvelables ne peut pas que favoriser le développement économique qui cependant il demandera toujours grandes quantités de matières plastiques, fibres textiles artificielles et produit dérivés aux hydrocarbures à qui ne peuvent pas pourvoir, à moins d'affronter les coûts élevés de synthèse des hydrocarbures pour lequel ceux-ci viendront donc progressivement valorisé, ou ils maintiendront une bonne évaluation de toute façon.

 

Il y a puis raisons multiples de caractère ambiant, qu'ils déterminent une augmentation considérable des dommages dûs aux phénomènes atmosphériques à l'augmenter de la concentration du CO2 dans l'atmosphère: inondations, ouragans, augmentation du niveau de la mer.

Depuis 1990 à aujourd'hui par exemple la fréquence et l'intensité des ouragans dans la zone de l'océan Pacifique autour de le les Philippines sont augmentées de 3 fois; aussi en autres zones de l'océan Pacifique, dans la zone des Caraïbes et dans le Golfe du Mexique elles sont augmentées dans la même proportion probablement.

Récemment (article apparu sur le Corriere Della Sera) le novembre 2004, il s'est découvert que l'augmentation annuelle de CO2 dans l'atmosphère est passée par 1,5 parties pour million aux 2,5 parties pour million pour lequel elle, catastrophique, concentration de CO2 prévue en 2050 sera atteinte au 2030 autour.

Toujours sur le Corriere Della Sera, dans le supplément le Dimanche scientifique 14 Septembre 2004, Guido Visconti illustre les résultats d'une recherche municipale entre les glaces du Groenland, dans un article du titre: "Une grosse vague de chaleur en Europe anticipa le dernière ére glacial."

"Pour la première fois nous savons peut-être comment le dernière peut être commencé il était glacial dans l'hémisphère nord. Il y a centventimil  ans le climat était il y a presque cinq degrés respect plus doux à aujourd'hui, c'est-à-dire la température moyenne était 5 degré plus élevés, et cela provoqua la fonte des glaces arctiques.

L'eau douce qui dérivait en ralentissait le Courant du Golfe, celle qui garantit un climat doux à l'Europe du nord, comprise l'Angleterre pour lequel le climat de l'Europe du Nord commençait à se refroidir lentement.

Le phénomène continuait pour différents milliers d'ans jusqu'à que, il y a 115 mille ans, on a un épisode soudain de refroidissement élevé qu'il marque le début de l'il était glacial qui ira avec des oscillations du climat en avant jusqu'à environ il y a 20 mille ans, quand, une fois atteinte le pic le plus froid l'hémisphère nord commence à se chauffer au hoquet."

"Les résultats de cette recherche publiés sur le magazine britanniques Nature et effectuée par un groupe international de savants, ils sont basés sur l'analyse de carottages effectuée dans les glaces du Groenland."

Il se confirme comme l'océan soit un élément déterminant de son étoupille, de l'était glacial. À un climat plus chaud il paie la fonte des glaces arctiques elle lequel eau douce bloque les courants océaniques qui portent la chaleur des tropici, au nord de notre hémisphère boréal.

Le ralentissement du Courant du Golfe est déjà de toute façon en acte, il semble que son plat total soit ralenti de 20%, avec hivers plus rigides conséquents en moyenne dans les villes mises dans le nord de notre hémisphère.

Aussi pendant l'émission télévisée "La Macchina del Tempo" allé en flot sur Rete4 Lundi 13 Décembre 2004, autour aux 23,45 et dédiée à ce sujet, les résultats ont été reportés soit de la recherche scientifique mentionnée, soit des reliefs sur la salinité de l'eau de mer effectuée en correspondance des Îles Faroer, au large de l'Écosse, dans l'an 2000.

Il résulte que, pendant que le début de 1900 jusqu'à le 1970 résulte constant à partir de, après 1970 heures le niveau de concentration saline diminue constamment, avec une diminution totale de 1 heure pour mille; il très ne semble pas, mais pour arrêter le "ruban transporteur" il semble une diminution être suffisant de dès que 1% de la salinité de l'eau de mer.

"Tel ruban transporteur" est constitué non seulement du courant du Golfe mais d'un courant total qui, en profondeur il passe autour de l'Afrique, il traverse l'océans Indien et Pacifique, et ensuite, en les réchauffant progressivement, il émerge et il court en surface en sens contraire, en recueillant quantités énormes de chaleur, il repasse autour de l'Afrique, pli vers les Nord Ouest et puis il replie, à l'altesse des Caraïbes vers le Nord - Est, en devenant celle-là qui est caractéristique comme le Courant du Golfe.

Grâce aussi à tel "ruban transporteur" la température se maintient assez uniforme en toute le planète; s'il s'arrêtait, les régions polaires deviendraient plus froides progressivement, il augmenterait la surface des glaces rapidement qui en réfléchissant très mieux du reste de la planète la radiation solaire, il contrarierait l'effet  serre très plus vivement jusqu'à déterminer une étendue des glaces tellement élevées à donner lieu à la crainte "nouvelle il était glacial."

De façon surprenante l'ère de "l'Illuminism" de sept-cents et la grand industrialisation  à partir de le 800 qu'ils ont permis le grand développement actuel de la civilisation humaine ils termineraient à cause d'erronés choix économiques et ambiants.

En réalité ils sont vraiment les connaissances technologiques actuelles et les exigences d'un nouveau développement économique les meilleurs demi pour contrarier et rééquilibrer le présent et le développement potentiellement catastrophique de l'effet serre.

Les coûts d'un développement des énergies renouvelables sont seuls apparents et en définitive lié au développement d'un logiciel et d'une teconologie ajusté qu'ils permettent la jouissance de telles énergies.

Ainsi les 62.000 milliards de tonnes équivalentes de pétrole que le soleil reverse tous les ans sur la terre ils peuvent "surclasser" aisément les 9,74 milliards de tonnes équivalentes de pétrole de fossiles combustibles annuellement brûlés de qui seulement une moindre partie, à propos du 15% du pétrole usé seul, ils viennent transformés dans les produits dérivés soi-disant.

Il suffirait d'utiliser seul le 0,35 pour mille de l'énergie annuellement reversée par le soleil sur la Terre, avec des rendements de conversion en énergie mécanique qui arrivent au 60% pour l'eolico pendant que pour le solaire thermoélectrique de 20% au 40%, pour rééquilibrer le phénomène de l'effet serre, en transformant un bien grand pourcentage de fossiles combustibles en produits dérivés par le pétrole et en garantissant un développement économique soutenu en tous les pays du monde pour beaucoup de dizaines d'ans.

Celui-ci est le prochain avenir probable de la civilisation humaine et qui n'adopte pas et il ne réalise pas politique clairvoyantes au service de l'énergie, des postes de travail conséquents et du milieu il est destiné à être relégué dans les limbes de l'économie et du progrès du genre humain.

 

 

Donne traits d'un report du Bellona Foundation.

Elles sont reportées les concentrations de CO2 en ppm, en rouge et les variations de la moyenne des températures, en orange, soit au cours du passé sois prévue dans ce siècle.

Les prévisions sur l'avenir de la production d'énergie élaborées par le Shell AG, ils confirment les considérations fait sur les énergies renouvelables.

 

 

En réalité, respect à une prévision d'énergie produite et usagée annuellement environ 30 milliards de tonnes équivalentes de pétrole, en 2070, l'énergie solaire qui prévoit d'utiliser 1/6 est seule du totale, c'est-à-dire environ 5 milliards de tonnes équivalentes de pétrole; respect au totale de l'énergie qui reverse sur la Terre tous les ans, le pourcentage de jouissance elle est encore plus réduite, de seuls 0,08 millesimi, ou de 80 millionième; cela correspond à la construction, tous les ans, pour une période d'environ 65 ans, de solariums centraux de surface telle à acheminer 1,23 millionième de l'énergie solaire totale qui arrive sur nous planète.

Il y a puis autres modèles qu'ils réduisent tel pourcentage comme la position des concentratori solaires ultérieurement, en zones plus ensoleillées du niveau moyen total comme les zones à sud du 45° parallèle et la capacité soit des concentratori paraboliques soit des paraboloidi cylindriques de suivre la position apparente du soleil qui devrait au moins dupliquer l'efficacité soit de tels concentratori soit des panneaux photovoltaïques doués du même mécanisme en moyenne; les panneaux solaires en position fixe mais incliné de manière optimale, à l'es. 45° devrait rendre par contre 1,5 fois de plus respect à la position horizontale, c'est-à-dire dovrebero être intéressé par un irraggiamento solaire de 50% respect supérieur à la position horizontale.

Toute ce porte à devoir installer tous les ans concentratori solaires et panneaux photovoltaïques pour une surface même à environ 0,6 millionième de la surface totale du globe terrestre, mêmes à 500 millions de Km²; donc une surface d'environ 300 Km²; il semble beaucoup, mais partagè pour la population totale de 6 milliards de gens correspond aux seuls 0,05 m² pour personne et pour tous les ans.

En pratique en installant aussi tous les ans 1 m² seuls de panneaux solaires seuls pour chauffer l'eau on contribuerait à réaliser le développement de jouissance de l'énergie solaire décrit pour soi et pour autres 14 ÷ 19 gens.

 

Autres éclaircissement techniques sur le "ruban transporteur"

 

La quantité de chaleur transportée par tel courant est égal à 1% de l'énergie relative à l'irraggiamento solaire; il ne semble pas de quantité très élevée, mais il est égal de toute façon à environ 620 milliards de tonnes équivalentes de pétrole.

Telle quantité de chaleur est prépondérante de toute façon soit respect aux fossiles combustibles annuellement usés, soit respect à l'effet conséquent serre, surtout ce qui intéresse le nord de l'hémisphère boréal et le sud de l'austral.

 

Données fournies par le British Petroleum (BP), dans l'an 2003 résulte les consommations suivantes globaux d'énergie:

 

pétrole usagés                 3637 milliards de tonnes de pétrole;

gaz usagés                       2332 milliards  naturels de tonnes équivalentes de pétrole;

charbon                           2578 milliards de tonnes équivalentes de pétrole;

énergie nucléaires             598,8 milliards  de tonnes équivalentes de pétrole;

énergie hydroélectriques   595,4 milliards de tonnes équivalentes de pétrole.

totaux                              9741 milliards  de tonnes équivalentes de pétrole.

 

De celles-ci cependant celles qui produisent l'effet le plus il serre ce sont le pétrole et le charbon; le gaz naturel en produit beaucoup moins, soit à l'égalité d'énergie produite, 30% en moins de CO2, soit en termes de meilleure efficacité des centrales électriques au gaz, qu'ils arrivent à un rendement du cycle turbine combinée au gaz - turbine à la vapeur de 60% contre le 40% du rendement des centrales au charbon ou à l'huile combustible.

Par conséquence, respect à la production de CO2 on peut estimer une consommation équivalente à environ 7 ÷ 8 milliards de tonnes équivalentes de pétrole.

Il en résulte qui s'il venait manquer l'équivalent de 620 milliards de tonnes équivalentes de pétrole transporté en forme de chaleur du "ruban transporteur" susdit, le refroidissement progressif des zones polaires serait respect prédominant au tout en effet soutenu serre, et on irait vers une nouvelle ère glaciale inexorablement.

En ce qui concerne l'arrêt possible de tel ruban transporteur, le 2000 s'est à partir de relevé une augmentation de 50% du apporte d'eau douce provenante soit de la fonte des glaces polaires (+ 100 kilomètres cubiques annuellement reversés dans la zone d'engouffrement de tel courant, soit de l'apporte des fleuves plus importants de la Sibérie (+ 128 kilomètres cubiques annuellement reversés dans la zone d'engouffrement  de tel courant, chiffre énorme à lequel paient les considérables et récurrents  inondations qu'ils se vérifient aussi dans cette région).

Tout de même, en perspective, une croissance de quelque degré de la température terrien moyen portera à un climat plus humide et aux augmentations aussi de 10 fois du plat d'eau douce provenante soit de la fonte des glaces polaires soit de je l'apporte des fleuves plus importants de la Sibérie; milliers de kilomètres cubiques d'eau douce en plus qu'ils pourraient porter à la diminution de 1 % de la salinité de l'eau de mer dans la zone polaire et à l'arrêt progressif du "ruban transporteur."

 

Du Courrier du Soir de 17/12/2004:

"L'effet serre la "Europe" il congèlera

Le danger d'une catastrophe ambiante: "Il menace la sûreté plusieurs du terrorisme." Alarme pour les nourritures ogm n'expérimenté pas

DE NOTRE CORRESPONDANT

NEW YORK - Le surchauffage actuel de la planète pourrait porter, en brefs temps aussi, à l'arrêt des courants océaniques qui maintiennent l'Europe tempérée. En accélérant déjà catastrophes ambiantes en acte quel inondations, ouragans, sécheresse et incendies et en donnant le feu vert à une congélation de la région. Environ une nouvelle ère glaciale, enfin. Il est celle-ci la conclusion déconcertante lequel le savant américain Gregory D. Foster joint dans un article publié sur le dernier je numérote du World Watch Institute Magazine, le magazine de la plus importante organisation internationale d'étude et recherche ambiante, le Wwi, note, qu'il anticipe les contenus de son rapport annuel, en sortie au janvier et dédié à la menace, pour la sûreté nationale et globale de la planète, pas représentée du terrorisme mais de la catastrophe écologique inexorable. "

"ONU - et de Buenos Aires, où on est en train de dérouler la dîme conférence des Nations Unies sur les changements climatiques, l'alarme de l'organisation météorologique mondiale il arrive aussi: le 2004, marqué par quatre ouragans puissants dans les Caraïbes et de typhons mortels en Asie, ce a été le quatrième an le plus chaud de l'histoire. L'organisation qui fait partie de l'Onu prévoit une augmentation de 0,4 degrés centigrades de la température moyenne sur la Terre, (14 degrés centigrades), pour le 2004. Le rythme de cette augmentation est trois fois supérieures environ à ce des derniers cent ans. Et s'il ne suffisait pas le 2004 il a aussi été le plus cher pour l'industrie assicurativa. Que pour faire front aux dommages provoqués liés par ouragans, typhons et autres désastres naturels aux phénomènes extrêmes climatiques il a plus de 35 milliards de dollars déboursé dans les seuls 10 mois premier de l'an, respect aux 16 milliards de 2003. "

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