Voilà, c’est fini…
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Un petit poème en prose sur les dernières pensées d’Oscar, écrit d’une traite, qui m’a été inspiré par le 14 juillet et écrit ce jour-là…
La fin d’un rêve dessiné au creux de ton épaule
Inspiré par le regard que toi seul savais poser sur moi
Regard qui même aveugle était le seul à réellement me voir
Dans les romans que nous dévorions ensemble enfants
Les héros voyaient toujours leur vie défiler au moment de rendre leur dernier souffle
Je ne suis pas sûre d’être une héroïne
Mais en cet instant de bruit et de fureur mes pensées ne sont pleines que de toi
Dis-moi toi qui as toujours été là pour m’ouvrir le chemin
Est-ce que cela a été pareil pour toi
Ai-je été au final l’ultime résumé de ta vie
Moi qui t’ai si mal aimé moi qui n’ai pas su tenir
Toutes les promesses que j’avais faites à la vie
Tu as tenu tous tes serments
Tandis que moi je ne sais plus vraiment si j’ai su rester fidèle aux miens
Mais mon seul regret reste de ne pas avoir eu le temps de tenir ceux de notre nuit
Mes pensées se brouillent dans l’odeur du sang et de la fumée
Tandis que je cherche tous les mots que je n’ai pas su dire
A tous ceux que j’ai aimés
Je n’ai plus peur
Au fond c’est la vie qui m’inspirait de la crainte
Et puis une fois encore tu as voulu me protéger en partant le premier pour guider mes pas
Ne pas me laisser seule dans ce grand vide
Je sais que tu m’attends
Alors plus rien ne peut m’arriver
Dis-moi seulement que je n’aurai plus à être ce que je ne suis pas
Dis-moi seulement que je suffirai à remplir toute ton éternité
Dis-moi seulement qu’au contraire de la vie la mort tient toutes ses promesses de bonheur et de paix
pubblicazione sul sito Little Corner dell'ottobre 2006
mail to: lady_rose_grandier@yahoo.fr